
Activités sportives déconseillées, exposition à l’air extérieur peu souhaitable, odeurs nauséabondes dans certains quartiers : nous connaissons tous les conséquences considérables de cette pollution atmosphérique.
À quoi bon casser les thermomètres ? Accepter de reconnaître l’existence de ce problème n’est pas inquiéter les populations mais au contraire prévoir pour pouvoir agir en prévision et protéger notre santé.
Subir cette pollution en milieu urbain n’est pas une fatalité. Les solutions existent. Un maire peut agir pour protéger ses concitoyens. Nous avons cette ambition pour Issy.
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